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From: | Hilaire Fernandes |
Subject: | Re: [Fsfe-france] Re: [APRIL] Re: Le futur SCILAB est un ami du libre |
Date: | Tue, 12 Apr 2005 14:36:08 +0200 |
User-agent: | Mozilla/5.0 (X11; U; Linux i686; fr-FR; rv:1.7.5) Gecko/20050105 Debian/1.7.5-1 |
Alexandre Dulaunoy a écrit :
On Tue, 12 Apr 2005, Antoine wrote:Ce qui n'aide pas à éclaircir les choses, c'est : - l'absence de textes explicatifs sur le site Creative Commons - un curieux mutisme de l'équipe CC française (Jean-Baptiste Soufron, Mélanie Dulong) sur les enjeux de fond - comme si seule les intéressait la problématique technico-juridique de traduction de textes légaux, et que le reste n'avait aucune importance...Pour la Belgique, j'avais fait quelques commentaires dans le meme sens mais sans grand feedback de l'equipe de transposition : http://lists.ibiblio.org/pipermail/cc-be/2004-November/000031.html J'ai vraiment l'impression que la question de savoir ce qui est libre ou pas n'est pas (encore?) dans l'approche des creatives commons. Mais que faire pour faire evoluer la situation dans le bon sens ?
1. Expliquer les conséquences pour des logiciels libres qui utilisent des données de type graphique ou sonore. Par exemple sur Gcompris, Bruno doit toujours faire attention aux licences des données qu'il reutilise. Des données sous licence CC-non-commerciale sont inutilisables pour son logiciel car sinon le logiciel ne pourrait plus être intégré au distributions commerciales ou bien Debian.
2. Expliquer aux administrateurs des sites communautaires qui défendent le libre et qui publient des contenus sous licence propriétaire. L'effet de ces sites est sans doute contagieux aux néophytes qui découvrent le libre à travers ses espaces en ligne => amplification du phénomène d'utilisation de licences propriétaires pour les contenus.
Hilaire -- ADD R0,R1,R2,LSL #2
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