Re: es différentes versions de lilypond

[michel pondeville]

Bonsoir à tous les passionnés, (eh là! Dont je suis)
Je pense avoir plus ou moins compris Michel (tiens, c'est plus Valentin?).
Cependant d'autres pprogrammes rencontrent lesmêmes obstacles et ils les 
passent.
Bon, ce n'est pas létal, cela tient plutôt à mon tempérament: j'ai toujours 
la frousse quand je désinstalle un programme car je me dis :"si l'autre ne 
marche pas" vais-je savoir le désinstaller et remettre celui-ci.
Oublions ma question et non pas du tout une critique. Ce serait faire preuve 
d'ingratitude et d'imbécillité avec deux "l".
Merci Beaucoup.

Michel
----- Original Message ----- 
From: "Michel Villeneuve" <address@hidden>
To: "Lilypond" <address@hidden>
Sent: Thursday, February 03, 2011 3:16 PM
Subject: Re: es différentes versions de lilypond


A mon avis il ne faut pas confondre le gestionnaire d'un paquet au
sein d'une distribution quelconque avec l'équipe de développement d'un
logiciel.

L'équipe de développement d'un logiciel développe souvent une version
dite de développement avec toutes les nouvelles fonctions que
contiendra la prochaine version stable et une version stable où on
corrige des choses sans ajouter de nouvelle fonction.

Au contraire les personnes qui s'occupent de maintenir un paquet au
sein d'une distribution, s'assurent du fonctionnement du logiciel
livré via le gestionnaire de paquets, apt aptitude, synaptic, selon
les goûts et là les paquets dont LilyPond se mettent à jour
"automatiquement". Par exemple dans Debian ou Ubuntu le gestionnaire
de paquets propose LilyPond mais vu la vitesse de développement du
logiciel les versions proposées sont assez anciennes (2.8 de mémoire
sous Debian stable).

Du coup souvent on utilise les versions récentes et non encore
intégrées en aval du développement par les distributions. D'un point
de vue de la gestion des paquets c'est déconseillé d'ailleurs mais
tout le monde le fait en pratique au moins une fois pour des besoins
divers et variés.

C'est la compréhension que j'en ai ...

--
Michel Villeneuve